Aller au contenu

Contribuer à OpenStreetMap, les deux applications coup de coeur sur Android#

📆 Date de publication initiale : 20 février 2013

Logo Openstreetmap

Auparavant, l'essentiel de mes contributions se faisait a l'aide d'un récepteur GPS et d'un bloc note. Mais, l'invasion des smartphones et surtout le développement d'applications dédiées à OpenStreetMap m'ont fait changer mes habitudes. Néanmoins, toutes les applications ne se valent pas, tant en termes de qualité, que de fonctionnalités. Ce billet présente 2 applications incontournables que j'installe systématiquement.


OSMTracker#

Un bloc note, un crayon, arf... c'est un peu old school tout ça non? De plus, combien de fois vous est-il arrivé de ne plus vous souvenir de l'exacte configuration d'un carrefour ou des éléments présents?

Que diriez-vous alors, si je vous annonçais qu'il existe une application spécifiquement dédiée à la collecte de données. Que celle-ci permet notamment d'enregistrer des messages, des notes ou de prendre des photos géoréférencées. Cette perle rare existe et se nomme OSM Tracker. Honnêtement, autant il m'arrive souvent d’être critique, mais là je ne lui trouve aucun défaut.

OSMTracker

Vespucci#

Malgré toutes les qualités de OSM Tracker, je dois avouer que je l'ai remplacée depuis quelque temps par Vespucci. La raison n'est pas liée a OSM Tracker mais plutôt à mon mode de collecte. En effet, je profite de mes trajets quotidiens pour ajouter à chaque fois quelques POI ou dessiner un petit bout de route. Dans ce cas, nul besoin de sortir l'artillerie lourde (OSM Tracker), Vespucci remplit parfaitement ce rôle.

Contrairement à OSM Tracker qui est spécialisé dans la collecte de données, Vespucci permet d’éditer directement la base OSM. Nul besoin de retravailler ensuite sous JOSM, tout se fait directement depuis l'interface. Il est notamment possible d'ajouter, modifier ou encore supprimer des objets géographiques et des attributs (tags).

Par contre, n'oubliez pas que vous êtes sur un environnement aux capacités (mémoire, processeur, etc.) plus limitées. Évitez de télécharger une trop grande zone. De plus, même si l'interface est bien pensée, il est tout de même facile de faire une fausse manipulation. Vérifiez donc bien vos données avant l'envoi.

Vespucci

Notre petit tour des applications OpenStreetMap indispensables touche à sa fin. Notre sélection n’étant pas exhaustive ni subjective, n’hésitez pas à nous signaler des applications que nous aurions pu manquer !


Auteur#

Arnaud Vandecasteele#

portrait

Bien qu'issu à l'origine d'un parcours universitaire (doctorat et post-doc), j'ai finalement tenté l'aventure entrepreunariale au travers de Geolab.
Mes principaux centres d'intêrets dans le domaine de la géomatique portent sur les logiciels Open Source et plus particulièrement QGIS.
J'aime également le développement informatique avec une forte préférence à tout ce qui se passe côté serveur (base de données, traitements, etc.). Côté techno, mes choix se portent habituellement sur du (Geo)Django et PostgreSQL/PostGIS.

Pendant mon temps libre, vous me trouverez un GPS à la main afin de contribuer à OpenStreetMap ou sur un tatami en train de pratiquer le Jiu-Jitsu Brésilien.

Si vous êtes intéressé par l'un ou tous ces sujets, n'hésitez pas à me contacter !

Commentaires

Afin de favoriser les échanges constructifs, merci de préférer le pseudonymat à l'anonymat. Pour rappel, l'adresse mail n'est pas exposée publiquement. Consulter la page sur la confidentialité et les données personnelles.
Une version minimale de la syntaxe markdown est acceptée pour la mise en forme des commentaires.
Propulsé par Isso.

Ce contenu est sous licence Creative Commons BY-NC-SA 4.0 International Pictogramme Creative Commons Pictogramme Creative Commons BY Pictogramme Creative Commons NC Pictogramme Creative Commons SA